Examen de fin de formation 2018 en génie civil
Dans ce cas, ce qui a été réalisé était l’examen de fin de formation en 2018 sous forme d’un technicien spéciale en génie civil. Cet événement ne peux jamais être oublié, car après deux années de travail acharné a été en jeu une heure de diplôme professionnel.
Deux années intenses
Pendant deux ans, j’ai appris plein de choses. J’ai découvert comment on construit un bâtiment, comment faire les plans, comment calculer la solidité d’un mur, comment préparer un chantier… Ce n’était pas facile tous les jours, mais j’aimais ça. J’ai souvent été fatigué, parfois découragé, mais je n’ai jamais lâché.
🔗 Vous pouvez aussi lire :
Le jour de l’examen
Le jour de l’examen, j’étais stressé. Franchement, j’avais le cœur qui battait vite. On s’est tous installés dans la salle, en silence. Quand j’ai reçu le sujet, j’ai soufflé un coup et je me suis lancé.
Il fallait étudier un projet de construction, faire les bons calculs, proposer des idées, dessiner… J’ai pris mon temps, j’ai fait de mon mieux. J’ai revérifié plusieurs fois. Je voulais que mon travail soit propre et clair.
L’oral, le moment de vérité
Après l’écrit, il y avait l’oral. Là, c’était encore plus stressant. Il fallait parler devant un jury, expliquer son travail, répondre aux questions. Pas évident quand on a le trac…
Mais j’ai respiré, j’ai pris confiance, et j’ai parlé comme je le sentais. J’ai expliqué mes choix, mes idées. Et j’ai vu dans les yeux du jury qu’ils comprenaient, qu’ils étaient intéressés. Ça m’a rassuré.
Le résultat
Quelques semaines plus tard, on a eu les résultats. Quand j’ai vu que j’avais réussi… quel soulagement. J’étais fier, vraiment. C’était la fin d’un chemin, mais surtout le début d’un autre.
Ce que je retiens
Cet examen, c’était plus qu’une simple note. C’était la preuve que je pouvais y arriver. Que j’avais appris un vrai métier. Et que j’étais prêt à aller plus loin.