EXAMEN DE FIN DE FORMATION TSGC 2019

Mon examen final en TSGC 2019 : j’ai stressé, transpiré… mais je l’ai fait Franchement, je m’en souviens encore comme si c’était hier.

C’était en 2019. Fin de formation en Technicien Spécialisé en Génie Civil, et là, bim : l’examen final. Après deux ans de boulot, de chantier, de DAO, de calculs… c’était le moment de prouver qu’on avait tout compris. Autant te dire que le stress était bien présent.

Deux ans de TSGC, et pas une minute de repos

Honnêtement, la formation TSGC, c’est pas du repos. On fait de tout : lecture de plans, AutoCAD, béton armé, topographie, suivi de chantier, gestion des équipes… bref, on est formés pour devenir de vrais pros du terrain. Et c’est ça que j’aimais : on ne restait pas assis à écouter, on faisait.

Mais voilà, à la fin, il faut tout mettre sur la table. Et c’est là que l’examen arrive.

Le jour J : théorie d’un côté, projet de l’autre

L’examen s’est passé en deux grandes parties :

1. La partie théorique

Celle-là, je l’ai trouvée intense. On avait des études de cas à analyser, des plans à décortiquer, du DAO sur AutoCAD à sortir rapidement, des calculs de métrés… Le tout sous pression.

Tu sens que t’as pas le droit à l’erreur, mais bizarrement, une fois lancé, t’es dans ta bulle. Ton cerveau fait le taf.

2. La soutenance du projet

C’est là que tout devient personnel. Moi, j’ai présenté le chantier que j’avais suivi pendant mon stage. J’ai parlé de l’organisation, du planning, des galères rencontrées, des solutions trouvées, des leçons retenues.

Ce n’était pas juste un dossier PowerPoint. C’était mon expérience, ma vision du terrain, avec mes mots, mes photos, mes erreurs aussi.

Ce que j’ai vraiment ressenti

👉 Avant l’examen : du stress, de la peur de l’inconnu, des révisions à n’en plus finir.

👉 Pendant : un peu d’adrénaline, un cerveau en mode robot… et une concentration maximale.

👉 Après : une sensation énorme de fierté. Je m’étais prouvé à moi-même que j’étais capable. Capable de gérer la technique, de prendre la parole, de me défendre devant un jury.

Ce que j’en retiens aujourd’hui

Rien ne vaut le terrain. C’est en stage que j’ai appris le plus.

Le jury ne cherche pas la perfection, il cherche quelqu’un de sincère, de motivé, de clair.

Même si t’as peur, fonce. Parle avec ton cœur, avec ce que t’as vécu. Ça se sent, et ça marque.

Et maintenant?

Si t’es en TSGC ou dans une formation similaire, je te souhaite de vivre ça à fond. Oui c’est stressant, mais ça forge. Et tu verras, après coup, tu seras fier de toi.

Et si t’as besoin d’un exemple de rapport ou de soutenance, je peux partager le mien, avec plaisir !

Dis-le moi en commentaire ou en message privé, je suis là pour échanger